Courir le monde : là où la mer est turquoise et les plages immenses (les Pouilles)
Notre dernière étape italienne était une station balnéaire sur la baie de Taranto.
Une ville fantôme plutôt en cette fin mars où elle ne s'aimait que le dimanche de 15h30 à 21h. Un havre de paix, avec des dunes courbes et la mer turquoise.
Sur le chemin, nous nous sommes arrêtés une journée à Matera, capitale européenne de la culture en 2019. Une ville étonnante bâtie dans un ravin, avec des constructions mi troglodytes mi baroques, les Sassi. Les habitants ont été expulsés et relogés dans la ville moderne entre 1950 et 1980. Et l'on visite maintenant les Sassi rénovés et fleuris.
Nous avons aussi consacré une journée à observer les maisons de pierre sur la route entre Alberobello et Ostuni. Les trulli, maisons aux multiples toits coniques, sont intégrés aux villes comme disséminés dans les champs. Ils portent parfois des signes magiques pour éloigner le mauvais œil des maisons. Habitations de conte de fée, ils ont été pour la plupart rénovés.
Nos préférés sont ceux tout de pierres apparentes perdus parmi les oliviers. Ostuni est une belle ville blanche. Le doute nous a saisi : étions-nous à Vejer de la Frontera ? Sur une des îles des cyclades ou bien dans les Pouilles ?
À Ostuni, nous avons goûté et parlé voyage avec Ashley et Quentin, un couple de cyclistes (et cavaliers) qui pense pédaler du Lubéron à Bali.
Étape suivante à Lecce (dans le talon de la botte) qui fut un riche bourg agricole des l'ere étrusque. Les bâtiments sont faits d'un calcaire très tendre, ce qui a autorisé toutes les fantaisies aux sculpteurs de pierre. Levez la tête et regardez les balcons : on y trouve cariatides, colosses et tout un bestiaire finement reproduit. La vieille ville est magnifique, un peu une ville-musée, une ville de Airbnb et d'antiquaires, une ville videosurveillée mais aussi très étudiante (il y a une université).
Il y a eu aussi des jours de plage et des jours de randonnées dans les dunes. Les plages des Pouilles avec leurs eaux turquoises et leurs immenses plages de sable sont paradisiaques (à condition d'avoir la vue sélective et de ne pas noter les monceaux de déchets qui s'accumulent).
(les campings ouvrant le 1er juin, nous avions loué un airbnb, à quelques pas de la mer, mais avec un trou dans le plafond et l'eau courante capricieuse. Nous nous abstiendrons donc de vous le recommander).
Nous avons apprécié la beauté de ce coin d'Italie.
Prochaine étape : la Grèce !
Une ville fantôme plutôt en cette fin mars où elle ne s'aimait que le dimanche de 15h30 à 21h. Un havre de paix, avec des dunes courbes et la mer turquoise.
Sur le chemin, nous nous sommes arrêtés une journée à Matera, capitale européenne de la culture en 2019. Une ville étonnante bâtie dans un ravin, avec des constructions mi troglodytes mi baroques, les Sassi. Les habitants ont été expulsés et relogés dans la ville moderne entre 1950 et 1980. Et l'on visite maintenant les Sassi rénovés et fleuris.
Nous avons aussi consacré une journée à observer les maisons de pierre sur la route entre Alberobello et Ostuni. Les trulli, maisons aux multiples toits coniques, sont intégrés aux villes comme disséminés dans les champs. Ils portent parfois des signes magiques pour éloigner le mauvais œil des maisons. Habitations de conte de fée, ils ont été pour la plupart rénovés.
Nos préférés sont ceux tout de pierres apparentes perdus parmi les oliviers. Ostuni est une belle ville blanche. Le doute nous a saisi : étions-nous à Vejer de la Frontera ? Sur une des îles des cyclades ou bien dans les Pouilles ?
À Ostuni, nous avons goûté et parlé voyage avec Ashley et Quentin, un couple de cyclistes (et cavaliers) qui pense pédaler du Lubéron à Bali.
Étape suivante à Lecce (dans le talon de la botte) qui fut un riche bourg agricole des l'ere étrusque. Les bâtiments sont faits d'un calcaire très tendre, ce qui a autorisé toutes les fantaisies aux sculpteurs de pierre. Levez la tête et regardez les balcons : on y trouve cariatides, colosses et tout un bestiaire finement reproduit. La vieille ville est magnifique, un peu une ville-musée, une ville de Airbnb et d'antiquaires, une ville videosurveillée mais aussi très étudiante (il y a une université).
Il y a eu aussi des jours de plage et des jours de randonnées dans les dunes. Les plages des Pouilles avec leurs eaux turquoises et leurs immenses plages de sable sont paradisiaques (à condition d'avoir la vue sélective et de ne pas noter les monceaux de déchets qui s'accumulent).
(les campings ouvrant le 1er juin, nous avions loué un airbnb, à quelques pas de la mer, mais avec un trou dans le plafond et l'eau courante capricieuse. Nous nous abstiendrons donc de vous le recommander).
Nous avons apprécié la beauté de ce coin d'Italie.
Prochaine étape : la Grèce !
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