Soyez le changement - une garde-robe éthique pour moi : une robe de printemps

Chaque année, à la fin de l'hiver, une envie irrépressible de coudre robes et hauts légers me saisit. Je dessine frénétiquement des silhouettes, compulse les patrons à ma disposition, ausculte ma collection de tissu.


Ce moment de créativité, où tout est possible, où tous les tissus se conjuguent avec tous les patrons, est mon moment préféré en couture.
La première chose que je voulais coudre, c'est un coupon de lin lituanien, un lin gris orage, gaufré, avec un tissage un peu grossier. La première chose que je voulais coudre, c'est une robe chemise, une robe du quotidien, simple et seyante.

J'ai opté pour un modèle déjà cousu, la robe de couverture du livre japonais traduit en français, l'élégance du noir. Par rapport à la version précédente, que je porte toujours avec plaisir, j'ai simplifié les manches ( la première avait des fentes capucin et des bracelets de manche) pour en faire de simples manches 3/4. Je n'ai pas mis les poches pour obtenir une robe plus élégante. Je n'ai pas mis de col.

L'ourlet, longuissime, a été le plus difficile à réaliser.

Glissée dans ma valise, je l'ai mise dans le Var, pendant les vacances d'hiver. Je la trouve parfaite, même si lin oblige, elle se froisse beaucoup.

Avez-vous commencé à coudre pour le printemps?


Commentaires

  1. Je la trouve très jolie. Et je trouve que c'est ce qui fait tout le charme du lin, son aspect froissé.
    C'est dans sa nature d'être ainsi, pourquoi le nier ! ;-)
    Et pour le transport dans les valises, il y a des méthodes pour rouler les vêtements plutôt que les plier, ils en ressortent moins chiffonnés: à tester? (Daphné Be-frenchie en parle dans son article du 09/02/20)

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