Courir le monde - un pays de montagnes, de gorges et de ruisseaux (entre Douro et Minho)
Pour notre ultime arrêt au Portugal, nous avions opté pour un hameau du Nord du Portugal, à proximité de Guimarães, nous permettant ainsi de rallier facilement Porto et la vallée du Douro.
Ce qui nous a surpris d'abord, c'est la densité de hameaux, villages et petites villes. Chaque parcelle est cultivée ou construite sur des terrasses. Notre deuxième surprise, ce sont ces vallées très encaissées aux maisons de pierre sombres et aux multiples cascades (Popa, presque un petit air de Cantal ;-) )
Il faut imaginer des hectares de frêles eucalyptus, au garde à vous, tout tronc pelant, des bassins carrés emplis d'eau et des plantations à perte de vue. Et des camélias prospèrant devant chaque maison.
Le dimanche matin, avec nos vêtements fripés mais propres et nos chaussures de randonnée, nous sommes allés à l'église. La petite église était comble, c'était pourtant un dimanche ordinaire, et l'assistance très fervente. A défaut d'orgue, il y avait un chœur polyphonique et des carillons qui partout dans la vallée se répondaient.
Nous avons eu un coup de cœur pour Guimarães, visitée un dimanche, tant pour la beauté de cette petite ville que pour l'atmosphère familiale et joyeuse qui y régnait.
Nous avons aussi beaucoup aimé Porto pour le contraste entre ses ruelles sombres, presque moussues, et ses places en nid d'aigle surplombant la ville et le Douro. Les immeubles couverts d'azulejos semblent monter en graine tant ils sont vertigineux.
Pris par une irrésistible envie de nature et de grands espaces, nous sommes allés passer une journée aux Passadiços do Paiva, réservé géologique de l'une sco, dans laquelle ont été aménagés 9 kilomètres de passerelles agrippées à la falaise, surplombant les eaux tourbillonnantes ou paresseusement émeraude de la Paiva. Stanislas et moi avons parcouru les 2 derniers kilomètres en courant, le reste de l'équipe étant décidement aux prises avec le vertige. Si cette randonnée vous tente, pensez à réserver sur internet car le nombre de visiteurs quotidiens est contingentés.
Il y a eu d'autres sorties moins heureuses ( Braga) et même, horreur, une journée de farniente.
On vous recommande le Garfepark Camping, rua da Rande 164 à Garfe. Le camping est tout neuf et compte une vingtaine d'emplacements. Il y a d'immenses terrasses ombragées où les enfants peuvent jouer au foot, au basket et au badminton. Et à mille autres jeux que le propriétaire du camping amène soir après soir (des échasses, des cerceaux, un baby-foot...)
Ce qui nous a surpris d'abord, c'est la densité de hameaux, villages et petites villes. Chaque parcelle est cultivée ou construite sur des terrasses. Notre deuxième surprise, ce sont ces vallées très encaissées aux maisons de pierre sombres et aux multiples cascades (Popa, presque un petit air de Cantal ;-) )
Il faut imaginer des hectares de frêles eucalyptus, au garde à vous, tout tronc pelant, des bassins carrés emplis d'eau et des plantations à perte de vue. Et des camélias prospèrant devant chaque maison.
Le dimanche matin, avec nos vêtements fripés mais propres et nos chaussures de randonnée, nous sommes allés à l'église. La petite église était comble, c'était pourtant un dimanche ordinaire, et l'assistance très fervente. A défaut d'orgue, il y avait un chœur polyphonique et des carillons qui partout dans la vallée se répondaient.
Nous avons eu un coup de cœur pour Guimarães, visitée un dimanche, tant pour la beauté de cette petite ville que pour l'atmosphère familiale et joyeuse qui y régnait.
Nous avons aussi beaucoup aimé Porto pour le contraste entre ses ruelles sombres, presque moussues, et ses places en nid d'aigle surplombant la ville et le Douro. Les immeubles couverts d'azulejos semblent monter en graine tant ils sont vertigineux.
Pris par une irrésistible envie de nature et de grands espaces, nous sommes allés passer une journée aux Passadiços do Paiva, réservé géologique de l'une sco, dans laquelle ont été aménagés 9 kilomètres de passerelles agrippées à la falaise, surplombant les eaux tourbillonnantes ou paresseusement émeraude de la Paiva. Stanislas et moi avons parcouru les 2 derniers kilomètres en courant, le reste de l'équipe étant décidement aux prises avec le vertige. Si cette randonnée vous tente, pensez à réserver sur internet car le nombre de visiteurs quotidiens est contingentés.
Il y a eu d'autres sorties moins heureuses ( Braga) et même, horreur, une journée de farniente.
On vous recommande le Garfepark Camping, rua da Rande 164 à Garfe. Le camping est tout neuf et compte une vingtaine d'emplacements. Il y a d'immenses terrasses ombragées où les enfants peuvent jouer au foot, au basket et au badminton. Et à mille autres jeux que le propriétaire du camping amène soir après soir (des échasses, des cerceaux, un baby-foot...)
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